Depuis 2015, le groupe Minafin enregistre une croissance organique forte et régulière, déjà portée par le rapatriement de productions en provenance d’Asie. À l’heure où ce mouvement pourrait s’amplifier, Frédéric Gauchet, président-fondateur de Minafin, met en garde contre les effets négatifs d’investissements capacitifs qui seraient mal contrôlés.
SYLVIE LATIEULE
Publié le 24/02/2021à 12h09
Sujets relatifs :
Chimie fine, Chimie, CDMO
POUVEZ-VOUS NOUS DONNER DES NOUVELLES DE VOTRE GROUPE MINAFIN ?
Depuis plusieurs années, le groupe Minafin enregistre une croissance organique régulière et forte dans la chimie fine, sans avoir eu recours à des acquisitions. Notre dernière opération remonte à 2015, avec le rachat d’une activité de fabrication de principes actifs high potent à Louvain-la-Neuve, en Belgique. À l’époque, nous réalisions 135 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’an dernier, en 2020, notre chiffre d’affaires a dépassé les 240 M€, avec un effectif de 900 personnes, grâce au bon […]
Accédez à l’article complet sur le site de Industrie Pharma:
https://www.industriepharma.fr/nous-avons-besoin-d-un-plan-directeur-europeen-bien-concerte-minafin,116684#